Je n'aime pas le mercredi au bureau.
C'est le jour où elle est absente et bien que elle n'est pas ma seule préoccupation, ses brèves apparitions sont autant de moments de grâce et de douceur.
Adorables...sa démarche légère, sa voix, ses cheveux blonds, son grain de peau, et sa façon de mettre les mains dans les poches arrières de son jean's.
Le mercredi: c'est ceinture !!!
Version "pauvre" du grand bleu. Jean Craignos, l'acteur vedette (pardon...hors bord) effectue une cascade roubignolesque. Il tournera ensuite vingt mille burnes sous les mers, dont la formidable scène de 25 minutes en apnée totale reste dans les mémoires...enfin...
Là, c'est un test grandeur nature, d'un nouveau pneumatique. Ce pneumatique de marque Bicheulin est réparable sans pompe. La simple apposition de la bouche à l'endroit de la crevaison suivi d'un souffle délicat (voir les joues) suffit re donner quelques bars de pression pneumatistinale. Remarquez la pose: elle laisse une large vision au spectateur afin de mieux apprécier l'effet.
Maman ! Le chat !!! l'a pas mis sa bouée !!!!!
Sans commentaire ! bon d'accord un commentaire. çà m'fout encore les boules.
A peine né, que déjà je modifie les paramètres de ce blog.
Précaution envers "X".
"X" étant variable en genre et en nombre, suivant la nature du message
C'est vrai que si tout peut être écrit, tout ne peut pas être bon à lire...pour "X".
Commenter l'actualité ne nécéssite pas ou peu de précautions dès l'instant où nous prenons soin d'éviter les propos diffamatoires ou injurieux. Là, je peux signer mon message.
Evoquer ce qui touche aux sentiments les plus intimes, surtout lorsqu'ils frissonnent ...peut avoir comme effet de jeter le trouble et l'incompréhension: soit je reste muet (mon intimité ne regarde que moi), soit je partage mes expériences (untel vivant une situation comparable en verra peut-être de quoi alimenter son analyse). Dans ce second cas, j'ai bien évidemment conscience d'une tromperie envers "X".
J'assume. Je revendique même un droit à l'exercice de ma vie.
Dites...
Il n'est rien qui justifie que nous devrions être des passifs, des contemplatifs de nos vies et de celles des autres.
Combien de fois ai-je retenu mes sentiments; les vrais, les intuitifs et ceux bien séants des causes évidentes.
Et aussi;
Combien de fois ai-je exposer mes sentiments; les vrais, les instinctifs et ceux bien compris des drames évidents.
Aujourd'hui: c'est un Denis nouveau... Un Dennis la Malice revenu à l'essence de ce qui fait que tout est estimable à l'aune de nos propres valeurs.
Dennis la Malice est le surnom que m'a donné une collègue de travail; une collègue qui porte en prénom, une tendre et délicate fleur bleutée.
Ce blog, c'est quoi au juste ?
Comme beaucoup ici, comme beaucoup maintenant que les moyens de lire et d'être lu se multiplient, je vais pouvoir évoquer les choses, les évènements qui me touchent ou m'interrogent.
J'ai pas mal de kilomètres au compteur, ce qui devrait me faire lever le pied; mais une mise au point toute récente (voir la jolie fleur ci dessus) m'invite à voir la vie non plus comme une pauvre bobine que l'on déroule jusqu'à craindre que n'apparaisse le bout du fil, mais comme un écheveau sans fin dès lors que le berger entretient ses moutons.
Ca !!! c'est une phrase sans malice...
Parler de moi n'aurait d'intérêt que si j'avais une vie publique reconnue, donc un égo vertigineux.
Je possède un égo...aussi...heureusement.
Parler de moi, moi seul...serait gratuit, plat, ennuyeux rapidement. Le sujet (moi) est peut-être interressant...mais sûrement vite rasoir. Moi même comme seul lecteur...évidemment cela finirait par m'ennuyer également.
Alors parler de moi et de mes questionnements dont toi Daniel, toi Marylène, toi Nico...et toi aussi Véronique (p'tite fleur) serait à même d'être confronté. Parler de moi, devient parler de vous.
Pas de réponses définitives, encore moins de solutions. Du vécu comme on dit à la TV, du ressenti comme on dit chez le psy, du tout-venant comme on dit chez les concasseurs.
Alors: parler de vous... vous dans l'actualité, dans les ordres et désordres de cettte gigantesque manipulation des coeurs.
En définitive, parler de nous.
C'est à cela que je prends rendez-vous.
